L’effet sèche-cheveux

Quoi de plus agréable quand il fait chaud qu’une petite brise, un léger courant d’air…
Cet agréable filet de vent qui aide à supporter une température un peu chaude…
Ici, en terre du désert,  ce courant d’air est a température ambiante.
Dès qu’il y a un peu de vent, cela fait sur le visage l’effet d’un sèche-cheveux : un jet d’air chaud, qui, tout en la provoquant, évapore les gouttes de sueur.
Rouler la fenêtre ouverte est un non-sens. Sauf si on est adepte des programmes de sudation.
Heureusement, les habitations, bureaux, véhicules de transport sont climatisés. Sinon on finirait lyophilisé.

Malheureusement, tout ce froid demande beaucoup d’énergie et génère donc beaucoup de pollution.
A ce titre la Banque mondiale classait en 2009 le Qatar comme étant le pays le plus pollueur au monde avec une rejet de 46 tonnes de dioxyde de carbone par habitants (en 2006) contre 6,2 tonnes en moyenne par Français… Et un milliard de chinois, ça fait pencher la balance du “bon” côté…