Janvier, 23°C.
Vendredi, premier jour du premier week-end à Doha.
Un petit tour de tour en tour dans le quartier où sis ma tour-hôtel. C’est un quartier récent où poussent des gratte-ciels à perte de vue. Derrière une tour, il y en a toujours une autre en train de sortir de terre.
Ce quartier est plutôt désertique. Et pas adapté aux piétons. Il y a en permanence un grondement sourd qui se fait entendre, quelque soit l’endroit où l’on se trouve : de monstrueux groupes électrogènes tournent non-stop pour alimenter les chantiers.
Les architectes doivent se creuser les méninges pour proposer des projets plus originaux les uns que les autres. Avec du recul, on a l’impression d’être devant Manhattan.
Au bord de mer, la vie réapparait. La « corniche » est un lieu de vie où l’on vient se promener, piqueniquer, jouer au foot, manger une glace…/.